Imaginons nos lointains ancêtres en train de partager une grande table de banquet pour célébrer l’évolution… avec Charles Darwin aux cuisines. Le fameux naturaliste n’aurait pas la tâche facile : Lucy l’australopithèque est plutôt végétarienne ; Homo habilis, son voisin de table qui ne connait pas le feu, se délecte de viande crue ; Homo erectus, également carnivore, préfère un steak maigre accompagné de tubercules, tandis qu’Homo heidelbergensis réclame son gibier légèrement cuit ; enfin, Homo neanderthalensis veut du pigeon, mais lorgne avec envie les moules dans l’assiette de son convive Homo sapiens.
Ce Dîner avec Darwin raconte avec un brin d’humour combien l’évolution de notre espèce est étroitement liée à celle de la nourriture. Notre système digestif a mis des milliers d’années pour s’adapter et être capable d’assimiler fruits, légumes, viandes et certains produits laitiers. Parallèlement à cela, les aliments se sont aussi transformés et Homo sapiens a su retenir ceux qui allaient lui convenir, quitte à devoir surmonter quelques problèmes alimentaires comme la dépendance au fructose ou l’intolérance au lactose…
Imaginons nos lointains ancêtres en train de partager une grande table de banquet pour célébrer l’évolution… avec Charles Darwin aux cuisines. Le fameux naturaliste n’aurait pas la tâche facile : Lucy l’australopithèque est plutôt végétarienne ; Homo habilis, son voisin de table qui ne connait pas le feu, se délecte de viande crue ; Homo erectus, également carnivore, préfère un steak maigre accompagné de tubercules, tandis qu’Homo heidelbergensis réclame son gibier légèrement cuit ; enfin, Homo neanderthalensis veut du pigeon, mais lorgne avec envie les moules dans l’assiette de son convive Homo sapiens.
Ce Dîner avec Darwin raconte avec un brin d’humour combien l’évolution de notre espèce est étroitement liée à celle de la nourriture. Notre système digestif a mis des milliers d’années pour s’adapter et être capable d’assimiler fruits, légumes, viandes et certains produits laitiers. Parallèlement à cela, les aliments se sont aussi transformés et Homo sapiens a su retenir ceux qui allaient lui convenir, quitte à devoir surmonter quelques problèmes alimentaires comme la dépendance au fructose ou l’intolérance au lactose…
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