Ce n'est pas ce que vous pensez!
Quand un scientifique s’intéresse au sexe, ce n’est pas pour la raison à laquelle vous pensez. Plutôt que de courir après le partenaire parfait, il a plutôt le don de vous trouver les partenaires les plus étranges du monde animal, les astuces biologiques, mais aussi tout ce qui fait la différence entre un homme et une femme, par exemple dans la façon d’utiliser un téléphone cellulaire...
Mais c’est quoi, le sexe, en science? C’est la façon dont se font les bébés – les nôtres et ceux de nos amies les bêtes –, la façon de faire la cour – là non plus, nous n’avons pas l’exclusivité! Ce sont d’innombrables recherches savantes sur les sujets les plus étranges et les plus étonnants qui démontrent, à tout le moins, que les scientifiques peuvent être fascinés par autre chose que leurs ordinateurs.
Le sexe, ce n’est qu’une partie de la production de l’Agence Science-Presse depuis 25 ans; mais c’est souvent la partie dont les lecteurs, bien qu’ils s’en défendent, se souviennent le plus. Chacun a sa petite histoire – de la vie sexuelle des araignées à celle des souris – qu’il chérit dans sa mémoire, parfois même sans savoir qu’elle lui est venue de l’Agence Science-Presse. Qu’on pense aux textes que diffusent régulièrement des médias aussi divers que Le Courrier de Saint-Hyacinthe, La Presse, Le Devoir, les stations de radio CKRL ou CFLX…
De l’humour sérieux
La trilogie La science en folie est publiée pour marquer le 25e anniversaire de l’Agence Science-Presse, la seule agence de presse scientifique de la Francophonie, dont la mission est de populariser l’information scientifique dans les médias et le public. Elle comprend un recueil de dessins humoristiques, La science morte de rire, et deux livres de nouvelles brèves et thématiques, Le sexe de la science et La science insolite. Pour «vendre» la science, il faut savoir la rendre intéressante, alléchante, amusante, intrigante, inquiétante parfois. Il faut un hameçon, un premier paragraphe qui frappe fort, ou une nouvelle ultra-brève, qui en dit plus en 10 lignes qu’un rapport de 100 pages. Voilà la recette de l’Agence Science-Presse!