Il y a un Wood Wide Web comme il y a un World Wide Web ! Par leurs racines, mais aussi par leurs feuilles et par le pollen qu’ils émettent, bouleaux, épinettes, sapins, érables, pins ou trembles communiquent entre eux.
C’est du moins l’une des étonnantes constatations du garde-forestier Peter Wohlleben, dont le livre sensible et plein d’intuition nous révèle un monde bien caché.
Étant donné que l’évolution nous a très tôt coupés du monde végétal, il nous est aujourd’hui plus difficile de comprendre les plantes que les animaux. L’auteur nous invite à renouer avec nos forêts anciennes où pullule une vie très mal connue. Il nous apprend que les arbres possèdent un sens du goût, s’entraident, respirent, réussissent à vivre des centaines, voire des milliers d’années... La vie secrète des arbres change notre façon de voir les forêts. «On ne peut plus les abattre sans réfléchir ni ravager leur environnement en lançant des bulldozers à l’assaut des sous-bois», soutient Peter Wohlleben.
Il y a un Wood Wide Web comme il y a un World Wide Web ! Par leurs racines, mais aussi par leurs feuilles et par le pollen qu’ils émettent, bouleaux, épinettes, sapins, érables, pins ou trembles communiquent entre eux.
C’est du moins l’une des étonnantes constatations du garde-forestier Peter Wohlleben, dont le livre sensible et plein d’intuition nous révèle un monde bien caché.
Étant donné que l’évolution nous a très tôt coupés du monde végétal, il nous est aujourd’hui plus difficile de comprendre les plantes que les animaux. L’auteur nous invite à renouer avec nos forêts anciennes où pullule une vie très mal connue. Il nous apprend que les arbres possèdent un sens du goût, s’entraident, respirent, réussissent à vivre des centaines, voire des milliers d’années... La vie secrète des arbres change notre façon de voir les forêts. «On ne peut plus les abattre sans réfléchir ni ravager leur environnement en lançant des bulldozers à l’assaut des sous-bois», soutient Peter Wohlleben.
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