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Il y a des mots pour dire le monde, les paysages, les villes et les villages. Mais d’où tirent-ils leur origine ? Pourquoi une montagne s’appelle-t-elle Noire ? Une ville prend-elle le nom de Venise ? Un village porte-t-il le nom de Tête-à-la-Baleine ?

Le grand géographe québécois Henri Dorion nous propose un tour du monde des noms de lieux, de la Gaspésie à la Turquie en passant par la Belgique et le Nord québécois. Un parcours qui révèle des histoires truffées de mystères et d’anecdotes.

Découvrez avec lui des villes qui se sont chacune glorifiées du titre de capitale pour leur sundae, leur poutine, leur pluie, leur paprika, leur prune ou leur mélancolie. Il y a même une ville qui dévore les poètes.

Les amateurs de plein air seront ravis d’apprendre qu’ils peuvent pêcher au lac J’en Peux Plus ou au lac Affreux après avoir fait une excursion à l’Île la plus proche du paradis.

« L’intérêt d’un lieu est dans l’œil de celui qui le regarde et le nomme », explique l’auteur.

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On en parle

La toponymie sert aussi à préserver la mémoire collective, puisqu’un nom recèle des informations sur le passé de l’endroit, sur les gens qui y habitent, sur sa réputation. C’est un tremplin qui nous amène au-delà du nom lui-même.
– Henri Dorion, L'actualité, 4 mai 2022